Consultez quelques-uns de nos projets de recherche qui ont connu du succès et voyez comment notre travail contribue au succès de nos clients et de nos partenaires.
Centre de recherche et programme : Génie océanique, côtier et fluvial
Vers la fin des années 1990, le Service canadien des glaces (SCG) avait signalé qu'on avait urgemment besoin d'un nouveau modèle prévisionnel, capable de se plier aux contraintes des activités contemporaines. En tandem avec le SCG, des universités et des expertsconseils du secteur privé, le Conseil national de recherches du Canada (CNRC) avait donc entamé des travaux en vue d'élaborer un modèle qui prévoirait de façon fiable la dérive des icebergs.
Centre de recherche et programme : Génie océanique, côtier et fluvial
La majeure partie de la population mondiale vivant le long des côtes, les ingénieurs doivent tenir compte de l'action des vagues et des niveaux de l'eau, et parfois de la glace, dans la conception d'infrastructures côtières. Ces forces naturelles peuvent causer des problèmes pour les opérations et la sécurité, sans parler des dommages structurels, qui peuvent entraîner de lourdes conséquences financières. Lorsque la firme Baird & Associates (Baird) a approché le Conseil national de recherches du Canada (CNRC) en 2004 lui demandant de réaliser une modélisation physique pour la construction d'un port à Fort Dauphin, à Madagascar, afin d'évaluer les risques d'un tel projet, l'équipe du CNRC était prête à relever le défi.
Centre de recherche et programme : Génie océanique, côtier et fluvial
Lorsque les forces de la nature en font converger les blocs, créant de dangereux amoncellements, la glace subit des pressions qui peuvent entraîner de sérieuses conséquences pour les navires, les immobilisant dans un climat rigoureux et mettant leur équipage en péril. Avant 2011, aucune méthode ne permettait de prévoir de façon fiable ces zones dangereuses, ce qui compliquait considérablement la navigation dans les eaux recouvertes par la glace. Selon la gravité de la situation, la glace sous pression peut bloquer un navire de quelques heures à deux ou trois semaines.